Monsieur le Sous-Préfet, Directeur de Cabinet, représentant Madame la Préfète des Landes,
Monsieur le Maire,
Mon Général commandant la Gendarmerie de l’Air et de l’Espace,
Mon Général délégué général adjoint du Souvenir français,
Messieurs les officiers,
Messieurs les Présidents des Ordres nationaux et de la Médaille Militaire
Monsieur le Président du Comité du Souvenir français de Pontonx et pays tarusate,
Messieurs les Présidents des comités du Souvenir français,
Messieurs les présidents des associations patriotiques, d’anciens combattants et de retraités de la Gendarmerie,
Madame et Messieurs les porte-drapeaux,
Mesdames, Messieurs en vos grades et qualités.
Nous nous retrouvons aujourd’hui dans ce cimetière de Rion des Landes autour de la tombe de Gérard HERBÈS, gendarme de l’air mort pour la France le 3 septembre 1974 à N’Djamena, loin d’ici, loin de son village, loin de sa famille.
En commémorant le 50ème anniversaire de sa disparition, le Souvenir Français accomplit l’une de ses missions qui est la transmission du souvenir. Souvenir de ceux qui ont fait le sacrifice suprême : celui d’offrir leur vie à leur pays.
Ils sont innombrables tous ceux qui comme Gérard HERBÈS ont fait le choix de donner leur vie en échange de la paix et de la liberté. Et c’est le Devoir de notre noble Institution de commémorer et de transmettre leurs faits glorieux aux jeunes générations afin qu’à leur tour, lorsque le moment en sera venu, elles soient en mesure de prendre le relais et de continuer à perpétuer la Mémoire de tous ces héros, simples civils ou militaires de terre, de mer, de l’air ou de la gendarmerie nationale.
Leur héroïsme n’a pas été vain et la France se doit d’être éternellement reconnaissante envers eux. Leur gloire rejaillit, malgré la peine sur leurs familles mais aussi sur leurs villes et villages dont ils sont devenus la fierté et évoquer leur mémoire, comme aujourd’hui celle de Gérard HERBÈS, c’est continuer à les faire vivre parmi nous. Les plonger dans les ténèbres de l’oubli reviendrait à les condamner à disparaître à tout jamais.
J’adresse tous mes remerciements et félicitations au Président du Comité de Pontonx sur l’Adour, Jean-Pierre MARQUANT et à son équipe pour le travail remarquable d’embellissement des alentours de cette tombe ainsi qu’aux membres de la section locale de l’UNC qui ont apporté leur aide, sans oublier le Général Alain BUISSON, à l’origine de cette émouvante cérémonie qui a contribué très largement à sa réussite par sa méticuleuse préparation et à vous tous qui êtes présents et sans qui cette cérémonie n’aurait pas revêtu autant d’éclat.
Je vous remercie pour votre attention
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